Le Collectif s’inquiète de la situation de l’Usine
Le Collectif pour une vie nocturne riche, vivante et diversifiée (dont le GLAJ-GE est membre) s’inquiète de la problématique actuelle entourant l’Usine
Contexte de la problématique entourant l’Usine tel que relayé par la Tribune de Genève:
02.11.2015 – L’Usine doit-elle se mettre en conformité avec la loi?
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/usine-doitelle-mettre-conformite-loi/story/15583852
30.10.2015 – Usine: deux élus réclament l’annulation de la coupe
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/usine-deux-elus-reclament-annulation-coupe/story/24757023
29.10.2015 – Kanaan: «Avec l’Usine, la droite veut montrer ses muscles»
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/sami-kanaan-usine-droite-veut-montrer-muscles/story/11671590
29.10.2015 – La droite municipale punit l’Usine après le défilé des tagueurs
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/droite-municipale-punit-usine-defile/story/13175754
28.10.2015 – Pierre Maudet: «Je n’ai pas l’intention de fermer l’Usine»
http://www.tdg.ch/geneve/actu-genevoise/pierre-maudet-lintention-fermer-lusine/story/18217584
Prise de position et COMMUNIQUÉ DE PRESSE du 29 octobre 2015 du Collectif pour une vie nocturne riche, vivante et diversifiée
“Réuni lundi 26 octobre en Assemblée des délégués, le Collectif pour une vie nocturne riche, vivante et diversifiée a décidé d’exprimer son inquiétude au sujet de la situation entourant l’Usine.
L’Usine, tant par sa capacité d’accueil que par la valeur ajoutée qu’elle apporte à l’offre nocturne genevoise, est un établissement nocturne de première importance. Il attire, à ce titre, toute notre attention. Nous exprimons notre inquiétude étant donné les risques de fermeture de ce lieu : à l’heure actuelle, nous sommes déjà dans une situation de manque global d’offre nocturne. La fermeture partielle ou prolongée de l’établissement impacterait grandement l’offre nocturne genevoise. En outre, nous constatons que les Autorités ont principalement tendance à recourir à la régulation répressive et à la mise sous pression. Nous considérons qu’une telle action politique uniquement régulatrice est insuffisante et nuisible dans le sens où elle a comme conséquence de mettre à mal un cadre pourtant approprié à la culture de la nuit.
Nous invitons le département de la sécurité et de l’économie à prendre, en concertation avec l’Usine, les mesures nécessaires pour résoudre les problèmes entre cette dernière et le département en question afin que le public ne soit pas impacté par des tensions administratives dont il n’a aucune responsabilité.”